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Libri antichi e moderni

Chehata (Chafik)

THÉORIE GÉNÉRALE DE L’OBLIGATION EN DROIT MUSULMAN HANÉFITE, LES SUJETS DE L’OBLIGATION

Sirey, 1969

140,00 €

La Memoire du Droit Librairie

(Paris, Francia)

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Dettagli

Anno di pubblicazione
1969
Luogo di stampa
Paris
Autore
Chehata (Chafik)
Pagine
[4 ff.]-365 p.
Editori
Sirey
Soggetto
, Droit des obligations, , , Droit musulman
Lingue
Francese

Descrizione

br., (couv. lég. fanée, feuilles lég. jaunies) Il s’agit ici de la réédition de la thèse de l’auteur initialement publié en … 1936 ! « Le livre est divisé en trois grandes parties. La première est consacrée à une bibliographie générale des travaux classiques et modernes sur le droit musulman en général, mais la bibliographie n’est exhaustive qu’en ce qui concerne l’école hanéfite. […] La deuxième partie est celle à laquelle on renvoie habituellement quand est citée cette œuvre. Il s’agit des principes généraux du droit des obligations, tels que les a élaborés l’école hanéfite, présentés sous la forme d’un “tableau général”. L’auteur, fidèle à sa doctrine de l’originalité foncière de chaque école juridique et de leur autonomie totale, pour ne pas dire de l’incommunicabilité d’une doctrine à l’autre, ne mentionne jamais, sur aucun point, la solution d’une autre école, afin de la comparer à celle du droit hanéfite. […] La troisième partie, elle, s’accompagne d’un impressionnant appareil de renvois, en arabe, aux auteurs classiques. Dans son exposé relativement court de la doctrine hanéfite sur les obligations conjointes et la solidarité passive, l’auteur a soin d’étayer chacune de ses affirmations de très nombreuses références aux auteurs classiques, de telle sorte que de la page 188 à la page 342 de son ouvrage, le texte n’occupe, en moyenne, que le quart de la page, les trois autres quarts étant réservés aux notes. Il est toujours un peu gênant de vanter les mérites d’une œuvre parue il y a quelque trente-cinq ans. Ne risque-t-on pas de laisser croire qu’on vient à peine de la découvrir ? Reportons-nous plus simplement à la critique de l’époque — celle des juristes et celle des historiens. Elle fut unanime à relever la haute valeur scientifique de cette œuvre, ainsi que l’élégante et sobre écriture de son auteur. » (Y. Linant de Bellefonds, RIDC n° 4/1970, p. 785 et s.).